No cari, oggi non abbiamo un canto alpino privato di un verbo, e nemmeno interrompiamo la nostra mega-serie greca. Et pourquoi écris-je en Italien? On n'a même pas une traduction italienne, mais une française. Aujourd'hui l'on a Ένα βράδυ που 'βρεχε | Éna vrády poy 'vrekhe, qui donne son titre au post. Traduite entre 12:54 et 13:09 le 4/3/20. Traduction littérale à gauche et chantable à droite. Voyons-la!
Ένα βράδυ που 'βρεχε, Που 'βρεχε μονότονα… Έφυγες, αγάπη μου, Ποιος σε πήρε να 'ξερα, Και θα τονε σκότωνα! Ένα βράδυ που 'βρεχε, Που 'βρεχε μονότονα. Ένα βράδυ που 'βρεχε, Που 'βρεχε μονότονα. Ένα βράδυ που 'βρεχε Μέχρι το ξημέρωμα… Έφυγες, αγάπη μου, Αχ αυτός ο άτιμος Ήθελε μαχαίρωμα! Ένα βράδυ που 'βρεχε Μέχρι το ξημέρωμα. Ένα βράδυ που 'βρεχε, Μέχρι το ξήμερωμα. Ένα βράδυ που 'βρεχε, Μέχρι που εχάραξε… Έφυγες, αγάπη μου, Η καρδιά μου σκίστηκε, Η καρδιά μου σπάραξε. Ένα βράδυ που 'βρεχε Μέχρι που εχάραξε. Ένα βράδυ που 'βρεχε Μέχρι που εχάραξε. Un soir qu'il pleuvait, Qu'il pleuvait monotonement… Tu t'es enfuie, mon amour, Oh si je savais qui t'a prise, Et je le tuerais! Un soir qu'il pleuvait, Qu'il pleuvait monotonement. Un soir qu'il pleuvait, Qu'il pleuvait monotonement. Un soir qu'il pleuvait Jusqu'à l'aube… Tu t'es enfuie, mon amour, Ah cet homme ignoble Voulait un poignardement! Un soir qu'il pleuvait Jusqu'à l'aube. Un soir qu'il pleuvait, Jusqu'à l'aube. Un soir qu'il pleuvait, Jusqu'au commencement du jour… Tu t'es enfuie, mon amour, Mon cœur se déchira, Mon cœur se craqua. Un soir qu'il pleuvait Jusqu'au commencement du jour. Un soir qu'il pleuvait Jusqu'au commencement du jour. |
Éna vrády poy 'vrekhe, Poy 'vrekhe monótona… Éfyges, agápi̱ moy, Pöos se pí̱re na 'xera, Kä tha ton-e skótōna! Éna vrády poy 'vrekhe, Poy 'vrekhe monótona. Éna vrády poy 'vrekhe, Poy 'vrekhe monótona. Éna vrády poy 'vrekhe Mékhri to xi̱mérōma… Éfyges, agápi̱ moy, Akh af̆tós o átimos Í̱thele makhä́rōma! Éna vrády poy 'vrekhe Mékhri to xi̱mérōma. Éna vrády poy 'vrekhe Mékhri to xi̱mérōma. Éna vrády poy 'vrekhe Mékhri poy ekháraxe… Éfyges, agápi̱ moy, I̱ kardiá moy skísti̱ke, I̱ kardiá moy spáraxe. Éna vrády poy 'vrekhe Mékhri poy ekháraxe. Éna vrády poy 'vrekhe Mékhri poy ekháraxe. Ce soir-là lorsqu’il pleuvait, Monotonement il pleuvait… Mon amour, tu t’es enfuie, Qui t’as prise savoir j’voudrais, Et bientôt je l’tuerais. Ce soir-là lorsqu’il pleuvait, Monotonement il pleuvait. Ce soir-là lorsqu’il pleuvait, Monotonement il pleuvait. Ce soir-là lorsqu’il pleuvait, Jusqu’à l’aube la pluie tombait… Mon amour, tu t’es enfuie Ah cet homme méprisé Voulait être poignardé Ce soir-là lorsqu’il pleuvait, Jusqu’à l’aube la pluie tombait. Ce soir-là lorsqu’il pleuvait, Jusqu’à l’aube la pluie tombait Ce soir-là lorsqu’il pleuvait Jusqu’à la fin de la nuit… Mon amour, tu t’es enfuie, Et mon cœur se déchira, Et mon cœur il se craqua. Ce soir-là lorsqu’il pleuvait Jusqu’à la fin de la nuit. Ce soir-là lorsqu’il pleuvait Jusqu’à la fin de la nuit. |
No comments:
Post a Comment