Oh la la, on y est encore! Aujourd'hui l'on a une chanson grècque, Γη και ουρανός | Gi̱ kä oyranós, qui donne son titre au post. Je l'ai traduite en Français le 14/11/21, entre 16:54 et 17:06. À 17:18 je décide de changer «Tiens me donc encore un peu» à «Tiens me donc encore dans tes bras», et à 17:19 à sa forme actuelle. Voyons-la!
Έφτασε λοιπόν η ώρα Για να πεις αντίο Και το δρόμο να τραβήξεις Για το χωρισμό Μοναξιά και ανηφόρα Έχουμε κι οι δύο Μια αγκαλιά το όνειρό μας Που έμεινε μισό Δεν ξέρω πως γη κι ουρανός Το κανονίσανε μαζί Και μοιάζει τώρα το φιλί Συννεφιασμένη Κυριακή Κράτα με για λίγο ακόμα Πριν χαθείς απόψε Δως μου το γλυκό σου σώμα Τελευταία φορά Μη μου λες οτι λυπάσαι Και το φόβο διώξε Τι θα γίνω δε σε νοιάζει Και δε σ' αφορά Δεν ξέρω πως γη κι ουρανός Το κανονίσανε μαζί Και μοιάζει τώρα το φιλί Συννεφιασμένη Κυριακή Elle est donc arrivée, l'heure Que tu me dises adieu, Et que le sentier tu prennes Envers la séparation Solitude et montée L'on en a même nous deux, Un embras nôtre rêve [était] Qui est resté à moitié. Je ne sais pas comment terre et ciel Se sont arrangé ensemble. Et maintenent le baiser semble [Une] dimanche nuageuse. Embrasse-moi encore pour un peu Avant de disparaître ce soir, Donne-moi ton corps doux Une dernière fois. Ne me dis pas que tu suffres Et chasse le peur: Ce que je deviendrai, ça ne t'importe pas Et ne te regarde pas. Je ne sais pas comment terre et ciel Se sont arrangé ensemble. Et maintenent le baiser semble [Une] dimanche nuageuse. |
Éftase löpón i̱ ṓra Gia na pës antío Kä to drómo na traví̱xës Gia to khōrismó Monaxiá kä ani̱fóra Ékhoume ki ö dýo Mia agkaliá to ónëró mas Poy émëne misó Den xérō pōs gi̱ ki oyranós To kanonísane mazí Kä möázë tṓra to filí Synnefiasméni̱ Kyriakí̱ Kráta me gia lígo akóma Prim khathë́s apópse Dōs moy to glykó soy sṓma Telef̆tä́a forá Mi̱ moy les oti lypásä Kä to fóvo diṓxe Ti tha gínō de se nöázë Kä de s'aforá Den xérō pōs gi̱ ki oyranós To kanonísane mazí Kä möázë tṓra to filí Synnefiasméni̱ Kyriakí̱ Elle est arrivée donc, l'heure Que tu m'dises adieu, Et de la séparation Que tu prennes le sentier, Solitude et difficultés, On en a, nous deux, Nôtre rêve était un embras Qui s'est dividé. La terre et l'ciel, je ne sais point Comment ils sont ensemble restés! Et maintenent le baiser paraît Une dimanche de nuées… Tiens me encore dans tes bras Avant de t'en aller, Donne-moi ton ainsi doux corps Une dernière fois. Chasse ta peur, de ton douleur Ne veuilles pas me parler, C'que je deviendrais, Ça ne t'importe et t'regarde pas. La terre et l'ciel, je ne sais point Comment ils sont ensemble restés! Et maintenent le baiser paraît Une dimanche de nuées… |
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